L’un des besoins fondamentaux de l’être humain est d’avoir une habitation à sa disposition. Cette dernière lui permet de satisfaire d’autres nécessités et de se sentir en sécurité. Ainsi, il est essentiel de se trouver une maison convenable sur tous les plans. Pour cela, le choix d’un logement doit tenir compte de la quantité d’énergie nécessaire pour mener une vie confortable. Que faut-il connaître sur les catégories énergétiques d’une maison ? Découvrez dans cet article l’essentiel à savoir sur les classes d’un immeuble.
La classe d’énergie d’une habitation
La catégorie d’énergie d’une maison est composée d’un ensemble d’éléments qui permettent de hiérarchiser un bâtiment. Cette classification ordonnée offre des informations importantes sur les besoins énergétiques d’un immeuble. C’est un système de désignation qui a pour rôle de fournir un aperçu des dépenses nécessaires pour disposer de la quantité d’électricité adaptée à une maison.
L’un des avantages de la catégorisation d’un immeuble est d’éviter les désagréments liés à la facturation de la consommation. En effet, il est plus aisé de savoir à quoi s’attendre par rapport aux dépenses pour une gestion optimisée du budget. La catégorie d’un bâtiment indique également les potentialités énergétiques de celui-ci.
La classification énergétique
Pour répartir les bâtiments selon leurs consommations énergétiques, plusieurs classes ayant une signification précise sont nécessaires.
Les différentes catégories énergétiques d’une maison
La répartition selon les performances d’une maison en énergie fait intervenir sept différentes catégories. Ces classes d’énergies sont désignées par des lettres. Ainsi, une maison peut appartenir à la catégorie A, B, C, D, E, F ou G selon ses besoins énergétiques. Le système de chauffage et de refroidissement d’un logement de première classe nécessite une quantité négligeable d’électricité. Cette catégorie contribue ainsi à économiser de l’énergie et possède des vertus environnementales.
La classe A consomme moins de 50 kWh/m2 chaque année. Le deuxième groupe est aussi performant que le premier, mais nécessite une quantité d’énergie comprise entre 51 et 90 kWh/m2. La troisième catégorie d’énergie renferme les logements dont le chauffage est réalisé en utilisant du gaz. Elle consomme plus d’énergie que les précédentes, mais ne dépasse pas 150 kWh/m2. La classe D et E concerne les bâtiments qui utilisent un système de chauffage à base d’électricité.
La différence entre ces deux catégories réside dans le caractère ancien des logements classés E. La classification se fait par quantité graduelle d’énergie consommée. Ainsi, ces deux groupes absorbent plus d’électricité que ceux qui précèdent. Les deux dernières catégories renferment des logements très anciens qui consomment énormément d’énergie. La classe G implique le plus souvent une isolation thermique défaillante.
La matérialisation concrète des classes d’énergies
La facilité à identifier la catégorie énergétique d’une maison est d’une importance capitale. Ainsi, pour l’immobilier, la classe est inscrite sur une étiquette qu’il faut fournir à l’acheteur pendant la vente. L’acronyme DPE désignant le diagnostic de la performance énergétique est un récapitulatif sur la consommation d’électricité d’une maison. Les classifications énergétiques sont faites en couleur pour faciliter l’appropriation.
L’utilité de la classification
La répartition énergétique d’un logement permet de connaître les meilleures classes. Il s’agit des catégories A, B, C et D. La classification permet de prévoir les travaux de rénovation pour une maison de classe E pour diminuer sa consommation énergétique et favoriser le confort. La catégorie E par exemple a pour avantage de bénéficier d’aides pour rénover son système d’énergie. La répartition permet également de savoir que les logements de la classe G sont à l’article de la mort c’est-à-dire en ruine.